Sentez-vous injustement traité ?Comment s’y prendre ?
IL y'aura toujours dans votre vie active des moments ou vous serez mal compris, mal représenté, ou tenu responsable de problèmes qui ne vous concernent pas. La plupart du temps vous pourrez régler des situations pareilles en discutant des raisons de l’erreur et en rectifiant celle-ci.
Cependant, il peut arriver que vous soyez traité injustement sans en comprendre les raisons. Sentir sur ses épaules le poids du négativisme de quelqu’un d’autre est toujours bouleversant et votre travail en souffrira immanquablement. Sans intervention, la tension que vous ressentez pourra se communiquer à votre équipe et donner des résultats désastreux. Il vaut donc mieux analyser la situation et la prendre en charge.
Cherchez d’abord à vous souvenir de la première fois ou vous avez observé cette négative. Posez-vous quelques questions :- Qu'est-ce qui aurait pu la provoquer ?- Étiez-vous concerné directement ?- L’incident a-t-il pris des proportions démesurées ?- En avez-vous jamais discuté ?- Y-a- t- il une autre personne impliquée ?Essayez ensuite de vous remémorer les incidents qui vous ont poussé à vous sentir injustement traité :- Quelqu’un d’autre a-t-il été traité de façon similaire ?- Donnez-vous aux incidents une proportion démesurée ?- Les autres s’en sont-ils aperçus et vous en ont-ils fait part ?- S’agit-il d’une habitude, d’un parti pris personnel ou professionnel ?Procédez ensuite à l’étude de la personne qui vous traite de cette manière :- Qui est-elle ? Un supérieur hiérarchique ?Un collègue ? Un employé ? Un client ?- Quelle est l’importance de cette personne ?- Respectez-vous ses opinions ?- Quel degré d’influence a-t-elle sur les autres personnes de votre entourage ?- A-t-elle la réputation d’être négative ou perturbatrice ?Le but de ce questionnement personnel est de vous aider à prendre du recul par rapport à la situation. Le fait de se sentir calomnie déclenche des émotions très désagréables qui peuvent vous pousser hors de toute logique et vous amener à imaginer des affronts partout. Vous devez être capable de percevoir la situation de la façon la plus impassible possible. Décidez tout d’abord s’il existe bel et bien un problème et s’il vaut la peine de s’y attacher. Étudier la personne qui vous traite de cette façon. Votre approche sera différente selon qu’il s’agira de votre patron, d’un collègue, d’un employé ou d’un client. S’il s’agit d’une personne qui la réputation d’être perturbatrice et pour laquelle vous n’éprouvez pas de respect, vous pouvez décider d’ignorer la situation et croire qu’elle aboutira sans conséquence grave. Vous aurez peut-être le sentiment qu’une épreuve de force ne ferait que faire empirer la situation (et satisfaire la personne concernée).
Si vous décidez de faire face à la situation, observez les démarches propres à une discussion d’encadrement. Modelez votre approche en fonction de la personne que vous rencontrerez. Avant de convoquer une réunion, repensez à vos arguments, aux données que vous avez recueillies et aux résultats que vous voulez atteindre. Etudiez aussi les solutions qui vous paraissent acceptables et celles que vous rejetez. Soyez particulièrement conscient de vos émotions et contrôlez-les ! Car il s’agira probablement d’une discussion extrêmement stressante et vous devez absolument rester calme. Envisager aussi les réactions possibles à votre interogation. La personne pourrait-elle dénier tous les faits et déclarer que vous avez tout imaginer? Pourrait-elle commencer à vous attaquer verbalement ? Que se passera-t-il si elle refuse de vous répondre ? Essayez d’anticiper les réactions et préparez des plans de rechange.
En utilisant vos capacités de bon communicateur consciencieusement et avec soin, vous pourrez diriger cette discussion et en arriver à une réunion productive qui terminera bien. Présentez votre point de vue et vos préoccupations avec clarté et concision. Veillez à ce que la personne comprenne bien la conséquence de son comportement sur vous et la raison pour laquelle vous voulez résoudre le problème. Ne permettez pas à la discussion de dévier du sujet : suivez votre plan aussi fidèlement que possible. Les disputes liées à des questions de rendement ou de travail peuvent au bout du compte être réduites à des faits plutôt qu’à des émotions et vous pouvez dans ce cas rechercher des solutions d’où chacun sortira satisfait.
S’il s’agit essentiellement de questions de personnalité, il sera probablement plus difficile de venir à bout du différend. Veillez à comprendre clairement les sentiments de la personne concernée en clarifiant et en exprimant votre perception de ses sentiments. S’il y a pas moyen de sépa- rer le conflit de personnalité de lacune perçue sur le plan d u rendement et d’avoir un échange honnête d’opinions, vous déciderez peut-être de mettre un point final à la discussion. Vous pouvez en toute légitimité faire clairement comprendre à votre interlocuteur qu’il a parfaitement le droit d’éprouver de l’antipathie à votre égard, mais que vous ne tolérez aucun commentaire ou comportement abusif ou perturbateur parce que tout le monde en sera affecté. Si vous n’avez pas de pouvoir direct sur cette personne, soyez prêt à référer la question au niveau hiérarchique concerné.
IL y'aura toujours dans votre vie active des moments ou vous serez mal compris, mal représenté, ou tenu responsable de problèmes qui ne vous concernent pas. La plupart du temps vous pourrez régler des situations pareilles en discutant des raisons de l’erreur et en rectifiant celle-ci.
Cependant, il peut arriver que vous soyez traité injustement sans en comprendre les raisons. Sentir sur ses épaules le poids du négativisme de quelqu’un d’autre est toujours bouleversant et votre travail en souffrira immanquablement. Sans intervention, la tension que vous ressentez pourra se communiquer à votre équipe et donner des résultats désastreux. Il vaut donc mieux analyser la situation et la prendre en charge.
Cherchez d’abord à vous souvenir de la première fois ou vous avez observé cette négative. Posez-vous quelques questions :- Qu'est-ce qui aurait pu la provoquer ?- Étiez-vous concerné directement ?- L’incident a-t-il pris des proportions démesurées ?- En avez-vous jamais discuté ?- Y-a- t- il une autre personne impliquée ?Essayez ensuite de vous remémorer les incidents qui vous ont poussé à vous sentir injustement traité :- Quelqu’un d’autre a-t-il été traité de façon similaire ?- Donnez-vous aux incidents une proportion démesurée ?- Les autres s’en sont-ils aperçus et vous en ont-ils fait part ?- S’agit-il d’une habitude, d’un parti pris personnel ou professionnel ?Procédez ensuite à l’étude de la personne qui vous traite de cette manière :- Qui est-elle ? Un supérieur hiérarchique ?Un collègue ? Un employé ? Un client ?- Quelle est l’importance de cette personne ?- Respectez-vous ses opinions ?- Quel degré d’influence a-t-elle sur les autres personnes de votre entourage ?- A-t-elle la réputation d’être négative ou perturbatrice ?Le but de ce questionnement personnel est de vous aider à prendre du recul par rapport à la situation. Le fait de se sentir calomnie déclenche des émotions très désagréables qui peuvent vous pousser hors de toute logique et vous amener à imaginer des affronts partout. Vous devez être capable de percevoir la situation de la façon la plus impassible possible. Décidez tout d’abord s’il existe bel et bien un problème et s’il vaut la peine de s’y attacher. Étudier la personne qui vous traite de cette façon. Votre approche sera différente selon qu’il s’agira de votre patron, d’un collègue, d’un employé ou d’un client. S’il s’agit d’une personne qui la réputation d’être perturbatrice et pour laquelle vous n’éprouvez pas de respect, vous pouvez décider d’ignorer la situation et croire qu’elle aboutira sans conséquence grave. Vous aurez peut-être le sentiment qu’une épreuve de force ne ferait que faire empirer la situation (et satisfaire la personne concernée).
Si vous décidez de faire face à la situation, observez les démarches propres à une discussion d’encadrement. Modelez votre approche en fonction de la personne que vous rencontrerez. Avant de convoquer une réunion, repensez à vos arguments, aux données que vous avez recueillies et aux résultats que vous voulez atteindre. Etudiez aussi les solutions qui vous paraissent acceptables et celles que vous rejetez. Soyez particulièrement conscient de vos émotions et contrôlez-les ! Car il s’agira probablement d’une discussion extrêmement stressante et vous devez absolument rester calme. Envisager aussi les réactions possibles à votre interogation. La personne pourrait-elle dénier tous les faits et déclarer que vous avez tout imaginer? Pourrait-elle commencer à vous attaquer verbalement ? Que se passera-t-il si elle refuse de vous répondre ? Essayez d’anticiper les réactions et préparez des plans de rechange.
En utilisant vos capacités de bon communicateur consciencieusement et avec soin, vous pourrez diriger cette discussion et en arriver à une réunion productive qui terminera bien. Présentez votre point de vue et vos préoccupations avec clarté et concision. Veillez à ce que la personne comprenne bien la conséquence de son comportement sur vous et la raison pour laquelle vous voulez résoudre le problème. Ne permettez pas à la discussion de dévier du sujet : suivez votre plan aussi fidèlement que possible. Les disputes liées à des questions de rendement ou de travail peuvent au bout du compte être réduites à des faits plutôt qu’à des émotions et vous pouvez dans ce cas rechercher des solutions d’où chacun sortira satisfait.
S’il s’agit essentiellement de questions de personnalité, il sera probablement plus difficile de venir à bout du différend. Veillez à comprendre clairement les sentiments de la personne concernée en clarifiant et en exprimant votre perception de ses sentiments. S’il y a pas moyen de sépa- rer le conflit de personnalité de lacune perçue sur le plan d u rendement et d’avoir un échange honnête d’opinions, vous déciderez peut-être de mettre un point final à la discussion. Vous pouvez en toute légitimité faire clairement comprendre à votre interlocuteur qu’il a parfaitement le droit d’éprouver de l’antipathie à votre égard, mais que vous ne tolérez aucun commentaire ou comportement abusif ou perturbateur parce que tout le monde en sera affecté. Si vous n’avez pas de pouvoir direct sur cette personne, soyez prêt à référer la question au niveau hiérarchique concerné.
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